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Nouveau projet en Thaïlande pour ATA MEDICAL, avec ses centrales hygiène de traitement d'air

L'expert en qualité d'air hygiène en milieu médical, déjà présent dans une cinquantaine de pays, vient de réaliser un nouveau projet avec l’hôpital de Nakhon Phanom, dans le nord-est de la Thaïlande.  

27 Oct 2022

Responsables de près de 10 000 morts par an en France, les infections nosocomiales sont un réel enjeu de santé publique. Les centrales de traitement d’air d’ATA MEDICAL contribuent ainsi à la stérilisation des milieux à haut risque. L’air est décontaminé par la machine et renvoyé propre dans la salle. La centrale fonctionne 24h/24h, avant, pendant et après l’opération.

Début juin 2022, le manager régional d‘ATA MEDICAL pour toute la zone Asie du sud-est, Leo Fauquembergue, a visité trois hôpitaux thaïlandais, en compagnie du distributeur local. L’objectif était d’exposer à ces établissements hospitaliers toute la gamme de produits répondant aux besoins et exigences normatives sur le traitement de l’air en zone à risque, de ISO8 à ISO5, avec CTA Hygiénique ou avec purificateur d’air Mobile.

La centrale CLINICAIR 1b (pour une salle d’opération ISO7) et l’unité mobile DOPAIR 3000, avec un kit de pression négative pour créer une chambre d’isolement pour les patients infectieux, répondaient parfaitement aux besoins de l’hôpital Nakhon Phanom. 

“Le but de nos produits est de réduire le nombre de particules et de micro-organismes dans une salle et par conséquent de réduire le risque d’infections nosocomiales aéroportées. La réputation de l’hôpital en ressort renforcée puisqu’automatiquement, le nombre de décès et d’infections après une intervention chirurgicale baisse”,  Leo Fauquembergue, Manager régional en Asie du sud-est pour ATA Medical.

En France, les hôpitaux sont obligés de respecter des standards de qualité d’air et sont régulièrement inspectés (standard NFS90-351, basé sur le standard international ISO14-644). Le taux d’hygrométrie doit être maîtrisé pour éviter que l’humidité provoque des conditions propices au développement des micro-organismes. Le nombre de particules en suspension et de microorganismes dans la salle doit être limité. Il faut également contrôler le taux de brassage (débit d’air de la centrale de traitement d’air en fonction du volume de la salle) et la pression (elle doit être positive dans la salle d’opération).

“Nous travaillons depuis de nombreuses années avec nos partenaires locaux pour évangéliser l’importance du traitement d’air hygiène, suivant les standards internationaux, que ce soit en salle d’opération ou dans les différentes zones à risque de l’hôpital. C’est un travail de longue haleine et nous sommes ravis de constater une réelle avancée des mentalités sur ce point », explique Leo Fauquembergue. 

A la différence de ses concurrents, les centrales d’ATA MEDICAL sont connectées et ultra compactes. Elles peuvent être directement installées dans la salle d’opération, évitant ainsi l’installation de réseaux aérauliques conséquents et propices aux développements de micro-organismes.

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